Après la Rumba, la RDC cap vers un plaidoyer pour la consécration de la journée internationale de la Presse Écrite

Le parc de Virunga et d’autres sites en RD Congo sont déjà passés patrimoine de l’UNESCO, bon l’apport humain n’est pas très immense par rapport à la rumba congolaise, ce qui explique le qualificatif « immatériel » ! Donc œuvre de l’esprit… C’est donc une victoire historique qui tord le cou à ceux qui auraient pu dire avec mépris : « Qu’est-ce que de bon peut bien venir de Kinshasa ? »

De la capitale rd-congolaise peut aussi venir l’idée d’obtenir la consécration d’une Journée internationale de la presse écrite… « Une idée géniale », a fait savoir encore une fois Paris… Ainsi, c’est avec le précieux soutien de l’UNESCO que l’Association Congolaise des Femmes journalistes de la Presse écrite (ACOFEPE) se donne ce challenge requérant l’implication du gouvernement congolais, de ses services spécialisés, de tous ceux qui sont conscients du rôle joué hier et aujourd’hui par le journal imprimé dans l’avènement de l’ordre démocratique ici et ailleurs, bref de tous !

Non seulement la presse écrite est là mère du journalisme, mais en plus elle reste fidèle à ce qui a fait sa réputation : la dénonciation des affaires… De l’affaire Dreyfus à Panama Papers, en passant par Watergate et Monicagate!

Le mardi 23 novembre 2021, un processus de longue haleine a été lancé… De la salle de conférence de l’UNESCO-RDC à la tribune des Nations-Unies pour la déclaration finale comme on le souhaite vivement ! Faveur des femmes et jeunes. »

Didi Mitovili

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