Interview de Jolie Rebecca Tshidibi Mputu, Rédactrice en cheffe du Desk genre à l’agence congolaise de presse.(ACP)Nouveau regard , pouvez-vous vous présenter au public congolais ?Je me nomme Jolie Rebecca Tshidibi Mputu , je suis rédactrice en chef du desk genre aux droits humains, je suis mariée mère de cinq enfants.Vous êtes femme journaliste, pourquoi avoir choisi la presse écrite ? Alors que plusieurs femmes des médias se dirigeant à la télévision et à la radio ? Pour commencer, j’aimerais pas dire que je choisis la presse écrite , au moins la communication c’est comme une passion pour moi je l’ai aimé dé le bas âge , raison pour la quelle j’ai fait la section littéraire. J’imitais beaucoup ce que faisait Madame Chantal Kaniembo pour tel ,et elle est pour moi comme une référence. Je me disais , que quand je serais grande je serais journaliste. Et arriver au niveau des universités, j’ai voulu plus comprendre que ce que la communication.Je n’ai pas commencé à la presse écrite, je débuté à la radio sango malamu et puis je combinais avec la télévision Nationale congolaise et du coup je me suis retrouvé à la presse écrite. En effet , la chute à la presse écrite m’a ouvert beaucoup d’opportunités. C’est ne pas qu’en allant à l’audio visuelle ou à la presse écrite que vous aurait des opportunités, partout vous êtes appelés à avoir des ouvertures, il vous suffit seulement de vous lancer sur terrain et vous verrez que tout va bien se passer.Que ce que la presse écrite à apporter de nouveau dans votre vie professionnelle ?Bien évidemment beaucoup des choses, nous sommes considérés comme des héros dans l’ombre, nous travaillons mais entre guillemets les gens ne nous reconnaissent pas . Mais à travers notre travail, les gens de l’audio visuelle sont poussés à nous lire tout le temps et je me sens capable, compétente lors que je me dis moi même que je travaille à la presse écrite, pour moi c’est quelque chose vraiment spécial et unique. Je n’envie rien de la télé , moi c’est la plume qui m’intéresse beaucoup plus .
Pourrions-nous parler du respect du genre dans les médias particulièrement à la presse écrite ? Concernant le respect du genre à la presse écrite, moi ce qui me décourage est plusieurs stagiaire n’aimes pas la presse écrite beaucoup préfèrent plus l’audio visuelle.La communication n’est pas seulement l’audio visuelle, elle englobe les Tout Aujourd’hui il y a la presse en ligne.
Les femmes sont plus retissantes que les hommes , les femmes aiment paraître Or c’est ne pas ça l’idéal. Venez , la presse écrite est une branche comme tout les autres.Le regret est que les femmes sont moins nombreuses que les hommes , elles ignorent que la presse écrite apporte plusieurs ouvertures aussi . Ces sont les femmes elles même qui constituent leurs blocages parfois , parce que nous avons des femmes capables des dirigeaient comme des hommes . Seulement nous donnons plus des raisons , j’ai des enfants et autres… moi j’en ai aussi mais il est question de savoir comment s’organiser pour y parvenir.C’est un combat que nous allons mener petit à petit avec l’ACOFEP news Pour finir , quel est votre apport dans la promotion du genre dans la presse écrite ? Valoriser la femme . Jessy Kuku Kiaku