Dans le cadre de la célébration du 1er anniversaire de la Rumba congolaise patrimoine immatériel de l’UNESCO, l’Asbl Soleil Soleil levant en collaboration avec l’Association Congolaise des Femmes journalistes de la Presse Écrite (ACOFEPE), MAYANGANI CLUB ont organisé vendredi 23 décembre dernier, au préau Professeur Malembe de l’Institut Facultaire des Sciences de l’information et de la Communication, une conférence-débat à l’intention des étudiants en de l’ IFASIC sur les mécanismes de vulgarisation de la Rumba Congolaise à travers les médias.
Organisatrice principale de cette activité, Grâce Israëlla KANGUNDU, Présidente de L’ACOFEPE a laissé entendre que l’objectif principal de ce mini festival était de porter à la connaissance des étudiants de l’IFASIC la vraie histoire de la rumba congolaise ainsi que pérenniser sa visibilité sur le plan national et international.
« Comment les médias peuvent-ils entretenir la mémoire de la Rumba congolaise », tel a été le thème principal de conférence-débat engagée entre les étudiants en journalisme et les professionnels de médias passionnés de la culture congolaise.
De son côté, le journaliste Saint Hervé Mbu’y, Coordonnateur principal de l’Asbl MAYANGANI CLUB a fait savoir que cette commémoration du 1er premier anniversaire de la Rumba Congolaise permet aux acteurs culturels d’effectuer une approche historique et pédagogique.
Invité à cette grande rencontre de débat, l’acteur comédien Masumu Debrindé a insisté auprès des jeunes étudiants pour une vulgarisation positive de la rumba congolaise à travers toutes les plates-formes numériques.
« La rumba congolaise a toujours accompagné nos différentes pièces théâtrales », a renchérit le doyen du théâtre congolais.
L’organisation d’une panoplie d’activités socio-culturelles tel que “la Rumba d’université” suscitera auprès de la population estudiantine, un vif intérêt pour cette musique mérite sa place d’ambassadeur de la culture et des idéaux du peuple congolais, a laissé entendre la Présidente de la coordination des étudiants de l’IFASIC, Joséphine Mawete, lors de son mot de bienvenu.
Par ailleurs, le Docteur Marcial Guerre , Consultant International , expert en genre et management de l’organisation a souligné que:
« la Rumba congolaise a mis une influence sur la nouvelle génération chez les jeunes ivoiriens çà une impact sur les styles d’accoutrement et c’est transversale dans la culture ivoirienne parceque nos musiciens commencent à chanter en lingala ».
« C’est une question de la structuration, poitevine bonne visibilité, externe et interne de la valeur de Rumba congolaise, il faut accompagner les artistes congolaises , le faire savoir les valeurs culturelles et structurer une fédération ‘’ a -il ajouté.
Rappelons que c’est depuis le 14 décembre 2021, que la Rumba Congolaise a été reconnue comme patrimoine immatériel et culturel de l’humanité par l’UNESCO.
Cette activité avec connu l’appui technique et logistique de L’IFASIC et de la Bralima en RDC.
Merry Kapula