Les ministres de la formation professionnelle et métiers, Antoinette Kipulu Kabenga et des Transports et voies de communication, Chérubin Okende Senga, ont effectué conjointement mercredi 26 mai 2021, une descente sur le site devant abriter un centre de formation des métiers professionnels du projet « Kin Emploi « , situé dans la commune de Barumbu à Kinshasa.
Selon de sources proches du cabinet du ministère de la FPM, la construction de centre de formation sera un acquis de l’État congolais au profit des jeunes congolais qui pourront bénéficier à l’avenir de plusieurs filières de formation professionnelle en République Démocratique du Congo. Sur le lieu, le secrétaire général du ministère des Transports a certifié à ces deux membres du gouvernement sur la réservation de cette concession accordée au ministère de la formation professionnelle et métiers.
Il a affirmé, Cependant, le début d’un travail pratique d’une étude de faisabilité qui déterminera la mise en œuvre de ce projet.
Il s’agit notamment de la répartition du terrain avec la RVA, de la maquette de l’ouvrage et de l’étude du sol. A en croire le secrétaire général du ministère des Transports, cet ouvrage ne pourrait être construis à deux étages son emplacement qui se trouve à proximité de l’aérodrome de Ndolo.
Par ailleurs, la ministre de la formation professionnelle a ému son vœu de vivre la concrétisation de ce projet afin d’orienter les enfants congolais vers l’apprentissage des métiers prometteurs. Selon elle, cette initiative contribuera à la lutte contre le banditisme urbain dans la ville de Kinshasa.
« Kin Emploi » est un projet intervenant dans le cadre de la mise en œuvre des axes stratégiques tracés dans le programme indicatif de Coopération 2010-2913 et celui de 2014-215.
Ce programme d’appui à la formation professionnelle a comme vocation de contribuer au développement économique et inclusif par l’insertion professionnelle effective des jeunes et spécialement des jeunes femmes congolaises de la ville de Kinshasa.
Il faut noter que ce projet est financé par la Coopération Technique Belge (ANABEL).
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