La Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC), de la province du Sud-Kivu, a manifesté sa vive préoccupation dans un communiqué rendu public le lundi dernier, à Bukavu, suite à la mort tragique de la journaliste Charlène Okito Safi de la Radio télévision Vision Shaka émettant à Kamituga, dans la province du Sud-Kivu.
Tout en condamnant énergiquement ce meurtre, la NSCC du Sud-Kivu a profité de l’occasion pour alerter l’attention des autorités compétentes pour l’auteur de cet acte odieux réponde devant les instances judiciaires.
La coordonnatrice de la NSCC, Mme Mireille Mirembe a en outre fustigé le fait que le tueur de mari de la journaliste Charlène Okito, pensait être devant une chose.
Étant un être humain, a martelé Mme Mirembe, la journaliste Charlène Okito, femme mariée de surcroît, avait droit à la vie. » Et cette vie est sacrée renseigne les saintes écritures, la déclaration universelle de droits de l’homme et la constitution de la RDC », a-t-elle fait savoir.
Rejoignant à cet effet toutes les autres organisations de la profession journalistique de Kinshasa (ACOFEPE, UCOFEM & AFEM) ainsi que de la société civile du Sud et Nord-Kivu, la NSCC n’attends que justice soit faite à Charlène Okito avec l’ouverture d’un procès équitable pour établir les responsabilités.
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